Bader Bois : 70 ans d’expertise au service de la fenêtre bois

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En 2024, l’entreprise alsacienne Bader Bois (4,7 M€ de CA en 2022, 35 salariés) fêtera ses 70 ans...




... lors d’événements particuliers à l’occasion des Salons Passibat et Batimat-Équipbaie qui se tiendront respectivement au Pavillon Baltard et à la Porte de Versailles. Dirigeant de cette société familiale, Cédric Goepfert en évoque l’histoire et la stratégie. Saga.

 

 

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© Bader Bois D.R. - Depuis 2020, la société Bader Bois est dirigée par la 3e génération familiale : Cédric Goepfert (photo), Régine Goepfert et Loïc Kaltenbacher 

 

Cédric Goepfert, quelle est la genèse de la création de l’entreprise Bader Bois ? 

Bader Bois est née en 1954, à Hésingue (68), à l’initiative d’Antoine Bader, un artisan alsacien qui a commencé l’aventure tout seul. En homme pratique, le fondateur a installé le premier atelier dans le Sundgau, juste en face de sa maison. A l’origine, c’était une activité de menuiserie générale comme il y en avait beaucoup à l’époque. Antoine Bader concevait des meubles, des escaliers, des fenêtres, des portes… Au fil du temps, l’entreprise s’est étoffée. 

En 2001, Antoine Bader vend son activité à Patrick Kaltenbacher, son gendre qui a épousé Véronique Bader. Titulaire d’un diplôme de dessinateur industriel, Patrick Kaltenbacher s’est orienté vers la mécanique et la conception avant de devenir menuisier en allant jusqu’à passer son brevet de maîtrise. 

Il s’est dit : « La fenêtre, cela nécessite de travailler sur la conception, d’organiser l’atelier, etc. ». Le challenge technique lui plaît et progressivement l’activité de menuiserie intérieure fait place début 2000, à la fabrication exclusive de menuiseries extérieures. Entre 2008 et 2017, l’entreprise développe la pose des menuiseries sur les chantiers publics et privés, acquérant de l’expérience en neuf et en rénovation. 

Mais il y a trois ans, la décision a été prise d’arrêter cette activité de chantier et de se consacrer à 100 % à la fabrication. Nous travaillons exclusivement en BtoB avec des professionnels du bâtiment : entreprises générales du bâtiment, artisans ou encore négociants. Cela nous permet de nous organiser dans une logique plus cohérente de commandes et de délais sans être tiraillé entre les exigences auparavant de nos propres chantiers ou ceux de nos clients. 

 

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© Bader Bois D.R. - Ci-dessus, une partie de l’équipe de Bader Bois, qui compte aujourd’hui un total de 35 personnes

 

Quelle est actuellement la taille de l’entreprise ? 

Notre effectif est de l’ordre de 35 personnes, ce qui est très bien, même si certains nous imaginent avec des centaines de personnes. Mais la plupart savent que nous sommes la troisième génération d’une entreprise familiale ayant repris Bader Bois depuis 2020. Je codirige la société avec Régine Goepfert et Loïc Kaltenbacher, et sommes respectivement gendre, fille et fils des Kaltenbacher. La nouvelle équipe dirigeante affiche des profils complémentaires : technique et industriel pour Loïc Kaltenbacher ; expertise en ressources humaines, administration, gestion et commerce pour Régine Goepfert et à la fois commercial, gestion et R&D en ce qui me concerne. 

 

Quelle est votre stratégie ? 

Notre logique est orientée marché. Nous nous interrogeons régulièrement sur ce qui est porteur ; nous notons les tendances qui émergent, notamment l’augmentation permanente de fenêtres bois entièrement finies usine. L’an dernier, Bader a ainsi investi dans deux robots anthropomorphes pour automatiser les dernières couches de finition des fenêtres. Un achat lié à une évolution de marché, à un besoin. Notre société de 35 personnes n’a pas vocation à croître sans fin et souhaitons privilégier les performances, la qualité. Nous visons des marchés de niches à valeur ajoutée comme, par exemple, les fenêtres passives en bois et en bois aluminium que nous avons certifiées avec le Passive Haus Institut (PHI) à Darmstadt, en Allemagne. Bader a aussi entrepris la qualification de ses gammes au FCBA à Bordeaux. Aujourd’hui, nos menuiseries peuvent être mises en oeuvre dans une maison individuelle tout aussi bien que dans un bâtiment public. Nous animons une petite structure, mais nous nous évertuons à faire bien les choses, tant au niveau du produit que des essais, des validations, des qualifications de gamme pour nos clients quand ils se retrouvent notamment face à un bureau de contrôle, un architecte, un assureur ou autre. 

 

Quels nouveaux produits comptez-vous développer ? 

Les fenêtres passives sont toujours d’actualité. L’année prochaine, nous projetons de réaliser de nouveaux PV feu sur des menuiseries résistant au feu, des PV pare-flamme (E30) et coupe-feu (EI30). Ce sujet nous tient à coeur. Nous sommes en train de travailler également sur notre nouveau système de baie coulissante ÉcoSlide. C’est un système à frappe, entre le système à levage et à translation. Ce fonctionnement un peu hybride nous intéresse vraiment parce qu’il offre un produit très étanche à l’air, accessible PMR et à un coût maîtrisé, qui aujourd’hui, pour ceux existant déjà, restent encore un peu onéreux. Nous souhaitons répondre à ce type de besoin, mais avec un budget un petit peu moindre.

 

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© Bader Bois D.R. - Entre 5 à 6 000 fenêtres sortent annuellement de l’atelier de Bader Bois

 

Que représente votre production annuelle ? 

Nous fabriquons entre 5 et 6 000 menuiseries par an. Nous affichons une grosse amplitude, aussi bien sur les dimensions de la menuiserie (petite à très grande) que sur sa valeur ajoutée (pas chère à très chère). Nous livrons parfois de toutes petites menuiseries sans finition d’usine, destinées à être peintes ou lasurées sur le chantier. Ce sont de tout petits châssis fixes, par exemple, avec un vitrage basique. À l’inverse, il nous arrive de fabriquer des baies coulissantes de 8 m de long, des fenêtres qui résistent au feu, dont le prix unitaire peut atteindre de 20 à 30 000 €. 

 

Comment s’illustre pour vous la partie bâtiments classés ou bâtiments se trouvant à proximité de bâtiments classés ?

Nous sommes très peu sur les bâtiments classés parce que nous ne réalisons pas de menuiserie à l’ancienne, type mouton et gueule-de-loup. C’est un marché très spécifique. Pour notre part, nous intervenons plutôt sur des bâtiments en zone classée avec des menuiseries comprenant de petits bois collés, des moulures à l’aspect un peu rustique, mais qui sont en réalité ultramodernes et étanches à l’air et à l’eau. Régulièrement, notre réseau commercial reçoit des demandes pour des fenêtres à l’ancienne, à mouton et gueule-de-loup ou autre. Mais beaucoup d’acteurs sont déjà sur ce marché et y répondent très bien.

 

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© Bader Bois D.R. - Les dirigeants de Bader Bois ont misé sur une large part d’automatisation afin de gagner en productivité et éviter le déficit de main d’œuvre compétente

 

Vous évoquez votre touche et votre singularité : à quoi peut-on reconnaître une fenêtre Bader ? 

Nous privilégions toujours des niveaux d’étanchéité à l’air, des performances thermiques et acoustiques élevés. Nos produits sont plutôt très performants dans ces domaines. Nous cherchons toujours à aller le plus loin possible. Par exemple, lorsque nous avons rejoint la Charte Menuiseries 21 en 2012, nous avions mené des essais acoustiques sur nos fenêtres. Lorsque nous avons été satisfaits, nous ne pensions pas aller chercher beaucoup plus haut. Et finalement, en 2014, nous sommes retournés au FCBA à Bordeaux avec des prototypes pour refaire de nombreux essais et dépasser nos performances précédentes. Cela illustre assez bien notre philosophie. 

De même, nous commercialisons aujourd’hui nos fenêtres passives, certifiées en 2016. Mais nous réfléchissons déjà à l’étape suivante : comment peut-on faire mieux, plus performant ? Il s’agit en fait de rester toujours à la pointe sur des marchés de niches. Nos produits ne sont pas toujours les moins chers. En revanche, nous avons à cœur de les hisser à un niveau de qualité élevé. En fait, le challenge consiste pour nous à vendre une première fois à un client. Il est agréablement surpris et ensuite, il revient. La qualité de nos produits est reconnue des acheteurs. Nous privilégions davantage une relation de long terme avec nos clients professionnels et une cohérence entre leurs attentes et ce que nous leur livrons régulièrement. Nous mobilisons le meilleur pour un accompagnement optimal et partageons avec eux notre expérience de fabricant, et celle de poseur et d’artisan par le passé. Nous sommes à leurs côtés lors des études de préparation, avant de fabriquer. Nous les conseillons sur la manutention, sur la mise en œuvre. 

 

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© Bader Bois D.R. - Bader Bois a participé au chantier de construction du Cercle Scolaire La Franche-Montagne à Maîche (25), multipliant les prouesses techniques : conception d’une fenêtre bois aluminium plein cintre, de grandes baies bois aluminium occupant toute la hauteur du bâti au rez-de-chaussée, de portes mixtes bois aluminium devant résister à des milliers de passages d’enfants, tout comme la terrasse circulaire à 360° réalisée totalement en bois

 

Quels chantiers emblématiques distinguent vos menuiseries de formes spéciales ? 

Nous avons mené de belles réalisations caractéristiques de formes cintrées, des anses de panier, ou des châssis avec des verres bombés, cintrés en plan. L’an dernier, pour accompagner un projet immobilier, nous avons livré des baies coulissantes de grandes dimensions spécifiques, sans poteau, ni de dormant dans l’angle. Les deux ouvrants s’écartent en préservant une vue panoramique privilégiée. Voici pour exemple le type de projet que nous affectionnons particulièrement. Même en cas de première, nous savions être en capacité de réaliser l’inédit. 

 

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© Bader Bois D.R. - Bader Bois peut mener de véritables exploits techniques, comme cette menuiserie bois au vitrage bombé très esthétique

 

Quels types de bois travaillez-vous ? 

Avant que n’éclate la guerre en Ukraine, nous oeuvrions traditionnellement avec quatre essences : 80 % de pin sylvestre, 10 % de mélèze, 5 % de méranti (bois exotique) et 5 % de chêne. Aujourd’hui, le mélèze de Sibérie ne peut plus être importé. Certains fabricants se rabattent sur le mélèze européen qui provient essentiellement d’Autriche mais n’est pas aussi qualitatif, ni aussi durable. Nous avons préféré l’abandonner… Aujourd’hui, nous sommes sur un mix à 90 % de pin sylvestre écocertifié en totalité PEFC. S’y ajoutent 5 % de bois exotiques et 5 % de chêne. Cette tendance nous va très bien : nous avons rendu nos approvisionnements encore plus vertueux. 

 

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© Bader Bois D.R. - Bader Bois livre parfois des produits de grandes tailles, à l’image de cette fenêtre coulissante de 7 m de portée qui se ferme en angle, sans poteau. Une réalisation très technique et qui garantit une vue optimale sur le paysage

 

Comment se caractérisent vos gammes mixtes ? 

Nos profils mixtes bois-aluminium sont aussi larges que les profils bois. Le gros intérêt de nos gammes mixtes est qu’on peut y mettre facilement des triples vitrages, des vitrages acoustiques, etc. Nous disposons d’une réserve d’épaisseur très confortable pour le vitrage. 

L’autre avantage des gammes un peu plus massives est que l’on peut concevoir des menuiseries de grandes dimensions puisque nous avons une certaine rigidité sur les profils. La matière est là pour les personnaliser, les feuillurer, les rainurer… Si nous sommes à peu près sur les mêmes clairs de vitrage à dimension équivalente, nous disposons d’un gros atout sur la thermique. Ensuite, l’avantage le plus important reste la durée de vie et l’exonération de tout entretien extérieur. Le seul inconvénient de cette menuiserie reste son prix. Mais elle répond à un réel marché.

 

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© Bader Bois D.R. - En 2024, Bader Bois réalisera de nouveaux PV feu, des PV pare-flamme (E30) et coupe-feu (EI30)

 

Comment envisagez-vous 2024 ?

S’agissant du marché global, nos entendons parler de prévisions chez de gros faiseurs multimatériaux en France qui s’attendent l’an prochain à faire -10 à -15 % en termes de chiffre d’affaires. 

Pour notre part, nous évoluons sur le marché du bois particulièrement porteur. La rénovation thermique est très active. Les usagers ont constaté que leurs factures de gaz, d’électricité, de fuel, ont fortement augmenté ces dernières années et comprennent l’intérêt de mieux isoler le bâti. Cette demande reste soutenue au niveau des particuliers et des maîtres d’ouvrages publics. Aujourd’hui, beaucoup de projets de rénovations thermiques sont portés par les bailleurs sociaux, des écoles, des bâtiments publics. Nous travaillons sur ce volet de marché. 

L’immobilier neuf s’est écroulé, miné par les taux d’intérêt qui ont augmenté et les banquiers qui prêtent moins. Ensuite, le bilan carbone du bâtiment entre en ligne de compte : il convient de choisir des matériaux mieux sourcés pour disposer d’un bilan carbone raisonnable. Aujourd’hui, construire devient très compliqué. De fait, les particuliers et les maîtres d’ouvrages publics investissent davantage dans la rénovation que dans le neuf. 

Parfois, les fenêtres bois apportent la petite goutte d’eau qui fait que le bilan carbone du bâti complet est correct. Nous en avons eu l’exemple pour les Jeux Olympiques. Certains bâtiments ont été construits avec des fenêtres bois alors que 4 ans auparavant, aurait été préféré des fenêtres PVC. Paradoxe : dans un marché du neuf qui baisse, la part de nos menuiseries bois augmente.

 

Au niveau de l’export, vous aviez l’ambition d’aller un petit peu regarder ce qui se passait à l’international. Est-ce toujours le cas ? 

Ces dernières années, nous nous sommes clairement centrés sur le marché français. Notamment parce qu’un certain nombre de documents de qualification de nos gammes s’effectuent au FCBA. Même si c’est un organisme notifié avec une valeur européenne, il est objectivement beaucoup plus facile de valoriser nos produits en France. A contrario, cela n’aura peut-être pas beaucoup d’impact sur les pays germaniques qui perçoivent l’IFT de Rosenheim comme l’organisme référent pour les fabricants des pays de l’Est, de l’Allemagne, de l’Autriche... 

 

Quelle est votre zone de chalandise dans l’Hexagone ? 

Nous vendons quasiment dans toute la France, mais notre réseau de commerciaux ne couvre pas encore l’ensemble du territoire français. Nous avons d’ailleurs participé à Artibat pour affirmer notre développement national. Nous sentons qu’il existe des besoins de produits hyper performants au niveau thermique en Bretagne et en Vendée. Nous travaillons aussi sur le Sud-Ouest : côte basque, secteurs de Bordeaux et de Toulouse. Nous sommes également intéressés par le secteur PACA et les Alpes. La région parisienne est également demandeuse de fenêtres bois. C’est assez bien réparti dans tout l’Hexagone. 

 

Vous avez récemment investi 500 000 € dans un robot de peinture. Quels sont les atouts ? 

Ce budget correspondait à notre ambition de départ. Mais cet investissement n’aurait pas permis de produire plus que ce que nous réalisons manuellement. Pour augmenter notre capacité de production, il fallait en fait acheter deux machines, nous obligeant à terme à construire une extension de nos bâtiments. Au final, l’entreprise italienne qui nous les a installées, a réussi à les placer en quinconce, sans extension. L’investissement est passé de 500 000 € à quasiment 800 000 €. Mais nous disposons de robots capables d’une mise en peinture de chaque face de la menuiserie. Notre capacité de production a immédiatement augmenté. Aujourd’hui, notre peintre est aussi pilote de l’ensemble de la ligne de finition robotisée. 

 

Vous disiez ne pas vouloir grandir à l’infini. Quel est l’agrandissement maximal selon vous ? 

Nous comptons plutôt consolider et former nos équipes. Nous nous intéressons aux investissements qui permettent de faire mieux et plus sans solliciter l’homme. 

C’est aussi dû à notre proximité avec la frontière suisse qui est un aspirateur de main-d’oeuvre, comme l’est le Luxembourg pour Metz. Nous avons automatisé tout ce qui pouvait l’être. C’est la culture que nous avons adopté. 

L’actualité nous rattrape aussi. Nous faisons tous face, avec nos confrères d’autres régions, aux mêmes problématiques de recrutement, tant au niveau des bureaux d’études que de l’administratif, du commerce ou de la production. Finalement, tout le monde s’intéresse aujourd’hui à la robotique et à l’automatisation pour éviter de devoir recruter des personnes pour simplement prendre une pièce au point A et la poser au point B. La transitique améliore l’entreprise. 

Au premier semestre 2023, nous avons investi près de 200 000 € dans une nouvelle siliconeuse qui réalise les joints de vitrage. Nous en sommes donc à 1 M€ d’investissement sur 1 an. C’est assez important, mais cela préserve notre compétitivité, aujourd’hui et demain. En 2014-2015, nous avions réalisé un investissement beaucoup plus important, de l’ordre de 3,5 à 4 M€. Il s’agissait d’automatiser entièrement l’usinage des pièces entre les carrelets qui sont posés sur des zones de stockage et des pièces qui sont entièrement usinées, prêtes à être collées. 

Il n’y a plus d’opérateurs : personne ne prend les pièces en main. Nous avons réussi à entièrement créer une ligne de fabrication automatisée. Nous sommes clairement tournés vers des produits mêlant à la fois tradition et haute technicité. L’éclairage de notre atelier est passé au Led récemment et cet investissement dans le relamping se ressent favorablement sur la consommation et… les factures. L’atelier se caractérise également par son odeur de résineux où se mêlent le bois et les copeaux, riche en émotions olfactives pour les visiteurs. Nous animons une entreprise bien vivante et nous adorons cela ! 

 

 

Photo ouverture © Bader Bois D.R. - Le site de Bader Bois à Hésingue (68)


Source : verre-menuiserie.com

L'auteur de cet article

photo auteur Jacques LE CORRE
Titulaire d’un DUT Information - Communication spécialisation Journalisme obtenu auprès de l’IUT de Bordeaux III, Jacques Le Corre est journaliste professionnel depuis 36 ans. Passionné par les grands enjeux économiques, il a relaté plusieurs grands défis industriels dans des magazines, notamment la construction du paquebot “Queen Mary 2” et la mise en place des programmes A380 et A400 M d’Airbus. Homme de terrain (texte et photos), il collabore avec V&MA depuis près de 4 ans.
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