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129 « Derrière la terminologie de plus en plus citée de l’industrie 4.0 se cachent de nouvelles possibilités contribuant à une véritable métamorphose de la production » , relève Michael Küttner, responsable marketing et communication corporate senior d’A+W. « Nous expérimentons un aspect de l'industrie 4.0 encore trop souvent sous-évalué, car une "Smart Factory" ne porte pas uniquement sur la production intelligente, mais également sur une communication optimisée entre partenaires commerciaux. Les nouveaux outils numériques permettent de travailler plus rapidement, plus facilement et de manière plus fiable » . A l’instar de A+W Cantor et de A+W iQuote qui s'appuient sur les réseaux intelligents de ses partenaires et a déjà intégré avec succès des configurateurs en ligne et externes de fournisseurs dans son logiciel ERP. « La commande d’achat Web avec l'intégration de configurateurs en ligne externes dynamise la chaîne de valeur ajoutée » , pointe Michael Küttner. « Les processus de commande qui nécessitaient auparavant des heures, voire des jours jusqu'à la réception de la confirmation de commande sont aujourd’hui traités en quelques minutes - y compris le transfert jusqu‘à la production ! » . A.B. MARCHÉ l Enquête V & MA n° 282 I AVRIL - MAI 2019 I CONFÉRENCES / EXPOSITION / EXPERTS RETOURSD'EXPÉRIENCE /ATELIERS DÉMOS Sous le patronage du ministère de l’intérieur* , du ministère des solidarités et de la santé et du ministère du travail* . PARIS Pte de Versailles 21>23 MAI 2019 MARSEILLE Grand Sud 08>10 OCT 2019 SANTÉ / SÉCURITÉ AU TRAVAIL SÉCURITÉ / SÛRETÉ DES ENTREPRISES *En coursde renouvellementpour2019 INFORMATIONS & INSCRIPTION GRATUITE WWW.PREVENTICA.COM V ajoute Laurent Ternon. Dans les ateliers, listings et papiers sont supprimés, remplacés par des écrans qui équipent les postes de travail et leur divulguent les informations utiles. ANTICIPER LA MAINTENANCE « L’analyse des données per- met d’anticiper les pannes et donc d’optimiser les process » , argumente Nicolas Maritan. Mise au point par le service R&D du groupe Biesse, la plateforme Sophia facilite le contrôle et la maintenance de la dernière génération de machines. Equipées de cap- teurs, celles-ci communiquent avec le système qui les identifie et les géolocalise. Le technicien Biesse peut donc alerter l’opé- rateur en cas de dysfonction- nement. Surtout, une base de données centralise toutes les informations relayées par les machines dans le monde. Ainsi, au moindre pépin, le technicien a accès à des suggestions de résolution de problème, inspirées des traitements anté- rieurs d’incidents similaires. « Lorsqu’une machine installée dans une entreprise en Ile-de- France présente un défaut élec- trique, le technicien basé en l’atelier renseigne l’ERP qui communique avec le portail. « Le client n’a plus besoin de venir chercher l’information, elle est poussée vers lui » , Crédit Photo :A+W

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